Vie de parent
Inondations : perdre son chez-soi
quand on n’a pas le choix
Publié le 6 octobre 2021 et mis à jour le 4 octobre 2021
Paru dans le Ligueur des parents du 6 octobre 2021
Certaines familles ne choisissent pas de déménager, elles y sont forcées. Depuis les inondations, celles de Sophie et Romain, de Mélodie et Luigi doivent vivre dans un habitat d’appoint. Comment se sentent-elles sous ce nouveau toit, qu’est-ce qui leur manque de l’ancien ?
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Habiter, bien plus que quatre murs et un toit
Partons des fondations. L’habitat est un mot issu de la biologie. « Il fait référence aux différentes espèces animales et végétales pour parler de l’environnement dans lequel elles se développent, évoluent, nous explique Chloé Salembier, ethnologue.
L’habitat, trois dimensions pour mille facettes
Stabilité, identité, personnalité, voisinage, choix, sécurité, habitudes, création… Quand on demande aux familles sinistrées des inondations de juillet de définir ce qu’elles ont perdu avec leur maison, c’est tout ça. C’est bien plus qu’un logement qui répond aux besoins fonctionnels d’un être humain, c’est un habitat.
Déménager ou se séparer : quand le foyer change de toit
L’architecture, que ce soit celle de la maison ou celle de la famille, peut changer. Et cela mène au déménagement. À quoi peut-on être attentif quand on déménage ? Réponse de parents et de psy.
