Loisirs et culture

Skyjo (Magilano), de l’évidence dont on fait les grands jeux

On le répète pour que ça s’intègre bien dans vos agendas, un lundi sur deux, on vous présente nos valeurs sûres. Celles des parents, des enfants, celles avec lesquelles on joue depuis des années. On déterre ces pépites parfois oubliées ou qui font encore les belles heures des éditeurs et distributeurs, c’est le cas avec ce jeu de cartes culte : Skyjo.

Il n’y a pas une sélection de jeux, pas une présentation, pas un tour de table où il n’est pas question de Skyjo, créée en 2015 par Alexander Bernhardt. D’ailleurs, la phrase « Oui, ça fait penser un peu à Skyjo…»  est systématiquement complétée par « mais en moins bien »... Cannelle, notre cher contact chez Geronimo, nous le confirme : « On en recommande depuis des années et tout notre stock s’écoule très vite à chaque fois par palettes entières. C’est, de loin, notre best-seller ». Que se passe-t-il avec ce jeu ?

Est-ce son aspect décroissant qui plaît tant ? Chaque joueur ou joueuse reçoit 12 cartes en main. Le but est de terminer la partie en ayant la plus petite valeur. Le partie s’arrête quand un joueur atteint le chiffre de 100. Ce dernier perd automatiquement. Vous l’aurez compris, la mécanique de jeu va donc reposer sur l’idée de se débarrasser le plus rapidement possible des cartes à grosse valeur. Et d’accumuler discrètement les cartes les plus petites. Plus le jeu avance, plus on prend conscience de la façon dont s’ordonne la partie et plus les tours de table deviennent intenses et techniques. Skyjo ou la revanche des petits ? Demandons donc aux Skyjoistes pourquoi ces cartes multicolores sont indétrônables dans leur cœur, non moins multicolore.

Ce qu’en pensent les Skyjoistes :
Avec ce jeu, pas besoin d’enquêter pendant des heures pour trouver des aficionados. Ainsi, Nadine, son mari, sa fille de 13 ans et son fils de 9 ans y jouent depuis des années. Pas de vacances sans Skyjo, d’ailleurs, notre maman justifie le culte qu’elle voue au jeu par son aspect nomade. « C’est LE jeu qu’on amène partout avec nous. Les enfants y jouent avec les copains-copines et ou les cousins-cousines. D’ailleurs, autre composante hyper importante : sa solidité. Il est très bien édité, robuste, on a les cartes en main. Quand on y joue, on est un peu à la maison. On retrouve des textures, une imagerie qu’on aime. Je pense que tout ça, ça compte ».
Et le succès du jeu en lui-même, qu’est-ce qui en fait un indétrônable ? Pour Jean-Jean, c’est le côté immédiat. « On t’explique les règles, tu comprends vite de quoi il en retourne et tu te dis que ça te rappelle un jeu. Peut-être un jeu que tu as connu enfant. Mais en réalité, ça ne ressemble à rien d'autre. C’est juste son évidence, sa rapide mise en place et toutes les stratégies que tu y déploies qui te procurent un plaisir de jouer qui est immédiat. Les parties sont variées, dynamiques, ça monte en puissance. Je recommande moins le Skyjo Action sorti il y a cinq ans. Autant rester sur les valeurs sûres. Puis après, il y a autre chose qu’on ne peut pas expliquer, c’est la magie d’un jeu ».

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