Vie pratique

Inondations : quand l’aide s’estompe et que le traumatisme s’installe

Ottignies. Vendredi 13 août. Près d’un mois jour pour jour après l’inondation, Stéphanie reçoit une visite inattendue. « Vous me reconnaissez ? », interroge la dame qui se tient sur le seuil. « C’était une dame de la commune qui accompagnait les ouvriers le jour où la grue est venue prendre tout ce qu’on avait perdu », raconte Stéphanie.

Si cette visite la touche, c’est parce qu’un mois s’est écoulé entre ces deux visites. Trente jours pendant lesquels une solidarité sans pareille s’est enclenchée. Locale ou lointaine, financière ou matérielle, elle afflue de toutes parts.

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