Société

Kim Koffel : « Peut-être que le regard sur les réfugiés va changer »

Depuis le début de la guerre en Ukraine, les mouvements d’aide et de soutien se multiplient au sein de la population. En Europe et aux quatre coins de la Belgique. Une solidarité très concrète, rarement rencontrée précédemment, et qui est le fait de citoyens et citoyennes, dont Kim Koffel de Longueville.

Longueville, petit village paisible de 800 habitants, rattaché à la commune de Chaumont-Gistoux. Une journée ensoleillée et quasi printanière. Au même moment, à plus de deux mille kilomètres, Kiev et d’autres villes d’Ukraine sont sous les bombes et sous la neige. Femmes, enfants et vieillards fuient leurs lieux de vie devenus synonymes de dangers de mort. De part et d’autre, deux populations que peu de choses devaient amener à se rencontrer, sauf que le Président russe en a décidé autrement.

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