Loisirs et culture

Le jeudi ? C’est jeux, dis – Candy Numbers (Zébulon)

Le jeudi, c’est jeux, dis | Toutes les semaines, le Ligueur vous présente une nouveauté, testée et approuvée par les parents. Après un jeu avec les mots pour inaugurer la rubrique la semaine dernière, nous vous en présentons un avec des chiffres qui allie mémoire, bluff et stratégie.

Mea culpa. Au moment où les premiers feuillets de notre sélection jeux/jouets sortaient de l’imprimerie, on se rendait compte que nous vous avions présenté Alexandre Dua, créateur/éditeur/distributeur, passionné par l’univers ludique et que nous avions évoqué son dernier né, Candy Numbers, sans en publier la chronique… Dommage, car le jeu sort tout juste du four. Nous l’avons fait tester en avant-première à une ribambelle de parents et grands-parents qui ont été unanimes : il s’agit là d’une valeur sûre.

Des chiffres, de la mémoire… et beaucoup de malice
D’abord, tout se passe dans un univers très très très sucré. Le jeu sent bon le bonbon et les ballons. Le principe ? Comme un jeu de mémoire, vous avez des tuiles (vous savez, les grosses cartes rigides) retournées. Votre mission : amasser le plus de bonbons pour assouvir votre appétit d’ogre. Pour cela, vous allez sélectionner, retourner, filouter, entourlouper, additionner, multiplier. Le genre de jeu qui devient vite haletant. S’il est indiqué à des petit·es de plus de 8 ans, on a vu des enfants plus jeunes disputer des parties – elles se jouent de 2 à 4 joueurs – de façon frénétiques.
Qu’en pensent les gourmand·es qui se sont plongé·es dans ce jardin des délices ?

► CE QU'EN DISENT LES PARENTS
Nous avions un prototype sous la main au moment des séances tests pour le dossier jeux/jouets. Avant même que le jeu ne soit commercialisé. Si des familles finissaient leurs tests rapidement, nous leur proposions de jouer à Candy Numbers. Une dizaine de familles ont donc testé le jeu. Myriam, grand-mère accompagnée de ses deux petits-enfants dont l’aîné a 8 ans, est la première à l’avoir testé à Louvain-la-Neuve : « On comprend tout de suite les règles. On a l’impression même d’y avoir déjà joué tellement il devient vite familier ».
Cyrille, à Bruxelles, y a joué avec sa fille Emilia, 7 ans. Il a été très pointu pendant les séances de jeux et a éliminé les deux titres qu’il a testés au préalable. Candy Numbers connaîtra-t-il le même sort ? « Là, c’est un super principe. C’est vraiment un jeu de mémo amélioré avec plus de possibilités et différents fonctionnements possibles. En plus, c’est bien conçu, on sent que les pièces sont solides et le tout à une bonne gueule. Dommage que je ne puisse pas repartir avec ! Et si on y joue avec des petit·es de 6-7 ans, il suffit juste de compter à leur place ». Emilia intervient surprise : « Pourquoi, les enfants ne savent pas compter ? C’est pourtant moi qui ai gagné… ».
Si l’univers très chamarré peut effrayer de prime abord, on ne peut que vous inciter à l’indigestion de ces bonbons-chiffres. Et soyez rassuré·es, jusqu’ici, aucune carie n’a été signalée.

EN SAVOIR +

  • La présentation sur le site de l’éditeur Zébulon.
  • On a rencontré Alexandre Dua qui nous a parlé du marché du jeu bien spécifique en Belgique et de la façon dont les familles jouent. Un portrait de passionné.

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