Vie pratique

Non, la fracture numérique n’est pas une fatalité

Existe-t-il un moyen de lutter contre cet ogre numérique qui dévore tout sur son passage ? Les parents doivent-ils se plier à cette nouvelle donne sans moufeter ? Nos enfants sont-ils condamnés à végéter le visage bleui par les leds fades des différents écrans ? Plus important encore, la fissure numérique de ce petit globe fragile sur lequel on vit est-elle inéluctable ? Mais non, tant qu’il y a des bonnes initiatives, et justement, on en a à revendre, il y a de l’espoir.

Pour les besoins de ce dossier, nous toquons à la porte de Tony de Vuyst, directeur général de PointCulture, partenaire de Média Animation et de la Semaine Numérique, où cette idée de soigner les fractures numériques revient à chaque édition. Paradoxalement, il nous explique que ce qui l’inquiète, ce sont les problèmes de santé liés à la surconnexion, qui ont explosé ces derniers mois. Il nous cite d’ailleurs quelques chiffres préoccupants : 70 % des internautes reconnaissent qu’ils ne peuvent pas se passer d’internet, seulement 23% des jeunes parviennent à se déconnecter quelques heures dans la journée. Tous ces indices sont en augmentation de sept points par rapport à 2019.
Réguler une consommation excessive, permettre à ses enfants de le faire, c’est une façon de lutter contre les mauvais usages. Et, donc, une façon de réguler les fractures numériques, comme nous le verrons dans les pages suivantes.

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