Santé et bien-être

Les animations Évras permettent à nos enfants de mieux vivre les un·es avec les autres. De mieux vivre avec eux ou elles-mêmes. Et parfois même d’élargir les œillères des parents et donc de mieux vivre en société.
Il y a trois ans, le Ligueur bouclait son premier dossier consacré à l’Évras qu’il introduisait par « On a gravi le mont Évras ». C’est l’impression que cela nous donnait. Nous étions parmi les premiers magazines à évoquer un sommet quasi vierge, peu foulé avant nous. Depuis, le principe de ces animations a fait son petit bonhomme de chemin.
D’abord à l’école, où une mention figure dans le Pacte d’excellence pour rendre ce principe transversal. En plus des animations, tout ce qui touche à l’éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle pourra être abordé aussi bien en cours de français qu’en histoire ou encore en maths. Les profs seront formé·es pour cela. Si cela s’imbrique correctement et rend les matières pratiques, on ne peut que s’en réjouir. Mais c’est surtout dans les familles, et plus encore auprès des parents, que l’Évras a infusé. C’est justement ce qui nous intéresse.