Société

Les bourses à la Ligue des familles, c’est un rendez-vous saisonnier. Pour les volontaires, elles représentent également une impressionnante dépense d’énergie et de bonne volonté. Rencontre avec Patricia Kervyn, une des chevilles ouvrières du groupe local de Mont-Saint-Guibert.
Signe de la mobilisation autour des bourses de la Ligue des familles : la difficulté de trouver un moment dans un agenda surchargé à quelques jours de l’événement, sans compter que derrière chaque bourse, il y a un collectif et qu’il faut qu’une de ses membres accepte d’en être la porte-parole. Finalement, nous trouvons une date, un lundi soir, à Thorembais-Saint-Trond où Patricia Kervyn a déménagé il y a trois ans. Ce qui ne l’a pas empêché de poursuivre son engagement à Mont-Saint-Guibert, par fidélité à son groupe d’amies. Une équipe soudée.