Vie pratique

Adrien Devyver fait partie des gais lurons du PAF, paysage audiovisuel francophone belge, notamment comme co-animateur du Grand cactus à la RTBF. Mais l’homme a une part plus intime qu’il considère comme son premier métier : la paternité, qu’il décrit dans son dernier livre, Moi, papa (Kennes). Une bonne raison parmi d’autres de le rencontrer.
Le rencontrer est un grand mot. Covid et agenda surchargé ont bousculé notre rendez-vous et nous nous sommes rabattus sur un échange en visioconférence, en direct de nos bureaux respectifs, lui à la RTBF, moi en télétravail ! Notre entretien n’en fut pas moins animé : Adrien Devyver décoche ses réponses plus vite que son ombre, à tel point que je me suis résigné à abandonner la prise de notes. Une mise en situation qui fait écho au titre de son premier livre, On m’appelle la tornade (Kennes).