Société

Pour sauver la planète, je ne ferai pas d’enfant

La jeunesse, comme il se doit, est exactement là où ne l’attend pas. Profondément mobilisée et ancrée dans des mouvances écologistes, elle vient de dégainer une nouvelle arme de réduction massive de CO2 : la dénatalité. Les protagonistes changent de dénomination au gré des tendances ou inquiétudes du moment, hier SEnVol (Sans enfants volontaires), aujourd’hui GINK (Green Inclination No Kid). Peu importe le nom, une chose est sûre : le mouvement est en marche.

Au milieu des années 90, l’activiste Kris Konda fonde The Church of Euthanasia, qu’il continue trente ans plus tard à faire vivre. La litanie ? Promouvoir l’extinction de l’espèce humaine pour sauver la Terre. Les théories affluent. Des mouvances les plus radicales - on pense à l’artiste bruxellois Jardin - jusqu’au Prince Harry qui a annoncé qu’il ne ferait pas plus d’un ou deux enfants pour cause environnementale… Être parents, ça pollue tant que ça ?

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